Discours de bienvenue de Didier Kling
Vice-Président de la CCI Paris Ile-de-France.
Discours d'ouverture du Printemps de l'économie de Claude Bartolone

Président de l'Assemblée Nationale.
Présentation du Printemps de l'économie, par Pierre-Pascal Boulanger
Président-fondateur des Économiques
Projection d'un "Dessine-moi l'éco" spécial Printemps de l'économie. 
Table-ronde inaugurale "L'Europe au placard ? L'Europe au rencard ?"











Invités du Printemps de l'économie : Patrick Artus (directeur de la recherche et des études de Natixis, professeur à l'université de Paris I, membre du Conseil d'Analyse Économique), Didier Kling (Vice-Président et trésorier de la CCI Paris Ile-de-France), Olivier Pastré (économiste, professeur à Paris VIII), Jean Pisani-Ferry (Commissaire Général à la Stratégie et à la Prospective), Odile Renaud-Basso (Directrice générale adjointe de la Caisse des Dépôts), Xavier Timbeau (Directeur du Département analyse et prévision de l'OFCE). Modératrice : Dominique Rousset (L'économie en questions - France Culture). Présentation des invités : Julia D'Avout (Etudiante en CPGE au Lycée Turgot). Table-ronde organisée par Les Économiques et le lycée Turgot.
Thème : L’Union Européenne est le résultat d’un long processus de construction commune, dont nous avons longtemps été fiers. L’intégration progressive de nos économies et le rêve d’une Europe sociale et politique ont suscité un temps l’engouement. Mais une trop longue période d’atonie de la croissance, un élargissement de l’Union sans modification significative des règles décisionnelles, mené tambour battant suite à la chute du mur de Berlin, sans choisir vraiment le type d’Europe que nous voulions, une entrée dans le désordre des pays membres dans la mondialisation, ont commencé à créer le doute. Prenant conscience de la puissance économique de l’Union Européenne, un pas supplémentaire a pourtant été franchi avec la création de l’euro. Après un moment de fierté suite au succès de ses premiers pas, c’est la crise de 2007 qui a mis en évidence ce paradoxe : d’un côté l’euro semblait nous en protéger, de l’autre elle mettait jour après jour en évidence ses défauts de conception. Quand la crise financière est devenue crise des dettes souveraines, et que l’Europe en est devenue l’épicentre, il a fallu agir. Comment ? Suffisamment tôt ? Trop lentement ? Au nom de qui ? Au nom de quoi ?
Le désamour des citoyens, au grand dam des partisans de l’Europe, s’est alors profondément installé, alors que l’euro semblait sauvé. Les récents progrès européens, dont l’Union bancaire dernièrement, seront-ils à même de stabiliser enfin le navire ?
A quelques mois des élections européennes, il ne sera pas vain de faire le point sur les forces et les faiblesses de l’Union, de voir s’il est possible de surmonter les difficultés et comment, d’envisager ou non un projet qui, à défaut de faire rêver, serait au moins mobilisateur. Bref. L’Europe au placard ? L’Europe au rencard ?
INSCRIPTION : CLIQUER ICI
Biographies des invités et documentation thématique en fin d'article.